REVUE DE PRESSE (extraits)
LE SON DU
GRISLI (…)
Radicalement furieux – on adhère de tous ses pores
ou on
rejette de tous ses vaisseaux, D.A.F. fusionne
samples
bruyants, poésie vocale, field recordings et compositions
originales au sein de deux continuums (Face A et Face B). A
l’issue de l’éprouvant parcours qui
trace un lien
étrange entre le meurtrier de Sharon Tate et
l’auteur de
"Justine ou les malheurs de la vertu", c’est peu dire
qu’on
est secoué comme mille pruniers plantés en plein
épicentre du côté de Port-au-Prince...
OX (…)
Ce vinyl rouge sang va vite et ses deux faces continues agissent
directement sur
le cerveau. J’aurais certainement
d’étranges
rêves aujourd’hui...
L’étiquette
“xtrem sound cut up” devrait alerter un
certain auditoire et avant tout lui permettre d’agir puisque
mondialement cette excellente édition est limitée
à 300 exemplaires. Qui aime
Schimpfluch, qui à Japon ne
pense pas seulement distributeurs de petites culottes
usagées et
qui se réjouit comme Roi des Neiges quand les
dadaïstes
jurent et pètent devrait savoir apprecier grandement ce
petit
chef-d’oeuvre.
BAD
ALCHEMY (…)
Deux dreamscapes continus en forme de collage
surréel, entremêlé de cris,
halètements,
sifflements et bribes de mots déformés
sortis de la
bouche d’une femme. Ici Breakcore ne serait qu'un sticker
apposé sur une forme monstreuse à la Mister Hyde.
C'est trop vivant pour ça, trop
pervers
polymorphe,
même si à la fin - couplant De Sade et La Mettrie,
il est
affirmé: " I'm a mechanical man ". SVP: ne
la
croyez pas.
AEMAG (…) Le LP lui-même est époustouflant .
Les pistes
s’enchainent et sont pour le moins soniquement inclassables.
On y
trouve des emprunts à la Noise, du Breakbeat fortement
abstrait et
des synthétiseurs bourrés d'effets qui dans leur
esthétique rugueuse rappellent des samples de musiques de
film
d'horreur.
Comme un freakshow, comme une bande magnétique
cassée...
La future stratégie
du plunderphonic.
MUSIC MACHINE (...) Fondamentalement enraciné dans les sons et
les constructions de la dance music sous sa forme la plus
radicale, l'album sonne comme le "Faust Tapes" de Faust
couvert
par le son des Boredoms barricadés dans un
studio techno, William Burroughs et Lenny Dee faisant
office
de conseillers.
REVIEWS( excerpts)
THE SOUND OF GRISLI (...)
Radically furious - you adhere with all your pores or you reject with
all your vessels, D.A.F. fuses noisy samples, sound poetry,
field
recordings and original compositions in two
continuums (Side A and Side
B). After the arduous journey that draws a strange link
between
the
murderer of Sharon Tate and the author of "Justine or the misfortunes
of virtue" is an understatement to say that you are shaken like a
thousand plum trees planted in Port-au-Prince full epicentre...
OX (...) This blood red
vinyl goes quickly acting directly on the brain. I will have
strange dreams today... The words "xtrem sound cut-up" should alert a
certain audience and foremost enable it to act as globally this
excellent edition is limited to 300 copies.
Who likes Schimpfluch, who
in Japan does not just think to use panty dispensers and who rejoices himself as
Snow King when the Dadaists fart and swear should greatly
appreciate this little masterpiece.
BAD ALCHEMY (...) Two continuous
dreamscapes shaped as a surreal collage broken with cries,
gasps, whistles and distorted word fragments from the mouth of a
woman. Breakcore here would be a sticker affixed to a monstrous "Mr. Hyde form". It's too alive for that,
too perverse, even if at the end - coupling De Sade and La Mettrie,
it is stated: "I'm a mechanical man." Please: do not believe her.
DEBUG (...) Cut-Up-Noise-Improv-Elektronik collage that warms the
bones and
makes the milk cooler. The French are the best when
they just blow their destiny with a chaotic
savagery. French women too.
AEMAG (...) The LP itself is amazing.
The tracks flow and are at least sonically unclassifiable, borrowings
from Noise, highly abstract Breakbeat and
synthesizer effects that remind music samples of horror movies. Like a freak show, like a broken tape... The future
strategy for plunder phonic.
MUSIC MACHINE (...) Fundamentally rooted
in the sounds and constructions of dance music, albeit the harsher side
of things. An album which sounds like “Faust Tapes”
being
covered by the Boredoms, barricaded in a techno studio, with William
Burroughs and Lenny Dee offering advice.